Wednesday, December 23, 2009

DEMOCRACY vs MERITOCRACY



The "democratic" electoral process is inherently flawed

The principle upon which (so-called) democracy is based – elections – is inherently flawed. In fact, just because people vote in an election does not make the political process democratic.

In fact, as Arudhanti Roy rightly stated: “It isn’t how many people who vote that count in an election; rather it is how the votes are counted.”

Consider the following:

Only a small minority of the total population actually takes part in the voting process during an election. Let us assume that for the purpose of our analysis, that out of a total population of 10 million, 50% are “eligible” to vote under the electoral rules. Now let us assume that out of the 5 million who are declared “eligible” to vote, only 50% (2.5 million) actually bother casting their votes. Now let us further assume that out of the 2.5 million voters, 51% - the (so-called) “majority” - vote for presidential candidate A. Thus, out of a total population of 10 million, only 1.25 million people (12.5%) have voted in favor of presidential candidate A.

How does 12.5% of the total population constitute the “majority”...? And how can candidate A claim to have "democratically" won the elections by the vote of the “majority”, when in fact only 1.25 million people - out of 10 million - cast their vote in his favor? And what about the opinions and voices of the REAL majority of the population (8.75 million /87.5%) who did NOT vote for presidential candidate A, but who nevertheless will have to pay taxes and bear the consequences of the policies pursued by the candidate A during his reign...?

As the above illustration clearly demonstrates, the entire election process is (purposely) inherently flawed and must be entirely reformed. In fact, under the current electoral rules, the majority of inhabitants who are excluded from the electoral process and/or chose not to vote will always be excluded from the political process, since only the “voices” of those who are eligible to vote and actually exercise that right are taken into account. People who chose not to vote for any of the running candidate (out of a lack of credible alternative)should also have a right to vote AGAINST any of the running candidates, and their expressed voices should be accounted for and reflected in the overall electoral results.

The current electoral process and rules are inherently biased against the true majority since they exclusively take into account the “majority” of the minority that actually vote. To illustrate my point, considering the following:

Let us assume that out of the 5 million eligible voters, only 1 million actually bother to vote. And out of the 1 million voters, candidate A obtains 51% of the votes. Under the current electoral process and rules, Candidate A will have won the election by obtaining the “majority” of the votes with only 510,000 votes, out of total population of 10 million, representing a mere 5.1% of the total population! The same example can be repeated ad infinitum with the same biased results.

Thus, it is clear from the above illustrations, that the (so-called) “democratic” electoral process is inherently flawed and biased against the true majority of the people and thus entirely un-democratic. It follows that all political appointees holding office through the above described fraudulent and anti-democratic electoral process are in fact illegitimate, and must therefore be removed from office.

Meritocracy vs Democracy

Furthermore, (so-called) democracy MUST be replaced by MERITOCRACY. In fact, government representatives must be hired based on merit and competence, and be directly accountable to the people, just like company executives are hired based on merit and accountable to their shareholders.

Countries must be managed like corporations by competent individuals based on merit, competence, accountability and transparency. Countries contain vast amount of resources (natural, mineral, human, etc.) which must be intelligently exploited for the development of the country as a whole and the welfare of its inhabitants. This can only be accomplished under a political system based on meritocracy, accountability and transparency.

MAIS DE MONSANTO PRESENTE "PLUS D'INCONVENIENTS QUE D'AVANTAGES" SELON LE HAUT CONSEILS DES BIOTECHNOLOGIES ( France)


AP | 22.12.2009

La culture du maïs génétiquement modifié Mon810 du semencier américain Monsanto, suspendue en 2008 en France, "présente plus d'inconvénients que d'avantages", estime le Haut conseil des biotechnologies (HCB) dans un avis rendu mardi (22/12/09) à la demande du gouvernement.

L'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) avait de son côté conclu à l'absence de risque pour la santé dans un avis rendu en février 2009.

Le HCB et l'Afssa ont été saisis par le gouvernement pour expertiser l'avis rendu le 30 juin par l'Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) en faveur de l'autorisation de cet organisme génétiquement modifié (OGM). L'Afssa et le HCB émettent tous deux dans leurs avis des réserves sur les statistiques sur lesquelles se fonde l'avis de l'Agence européenne de sécurité des aliments.

Six pays de l'Union européenne ont fait valoir leur clause de sauvegarde pour interdire la commercialisation du Mon810, conçu pour résister à la pyrale du maïs: la France, le Luxembourg, l'Allemagne, l'Autriche, la Grèce et la Hongrie.

Le comité scientifique du HCB note pour sa part que la culture du Mon810 n'a probablement "pas d'effet majeur sur l'environnement", mais son comité économique, éthique et social (CEES) conclut à la majorité de ses membres que son éventuelle mise en culture ne devrait être autorisée qu'avec "des conditions préalables et simultanées d'accompagnement".

Constatant que les questions environnementales sont surtout liées à la fonction insecticide de cet OGM, le comité scientifique du HCB juge nécessaire de renforcer les réseaux de surveillance des effets non désirés des pratiques agricoles sur les écosystèmes.

S'appuyant sur les avis de l'Afssa et du HCB, le gouvernement français souhaite dans un communiqué commun des ministères concernés la mise en oeuvre rapide des conclusions du Conseil européen de décembre 2008, et un bilan d'étape d'ici un an. A l'époque, les Vingt-sept avaient notamment demandé le renforcement de l'expertise scientifique de l'EFSA par la création d'un réseau de scientifiques mis à sa disposition par les Etats-membres, et la révision des méthodes d'évaluation.

Monsanto a dénoncé mardi les conclusions du CEES du Haut conseil des biotechnologies. Elles "nous semblent complètement éloignées de toute réalité agricole", écrit le groupe agro-alimentaire américain dans un communiqué, soulignant qu'il n'a "pas été invité à présenter son dossier".

"Il sera intéressant d'analyser la posture française qui, après avoir avancé des raisons scientifiques pour justifier la suspension de la culture sur son territoire en février 2008, pourrait invoquer désormais des raisons socio-économiques", estime Olivier Soulié, responsable de la commercialisation du Mon810 en Europe du Sud.

Greenpeace de son côté s'appuie sur l'avis du HCB pour souhaiter "que la culture du maïs génétiquement modifié Mon810 soit définitivement interdite dans l'Union européenne". L'organisation environnementale demande à la Commission européenne de se prononcer en ce sens lors de ses prochains travaux sur le renouvellement de l'autorisation de cet OGM début 2010. AP

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/societe/20091222.FAP9357/le_mais_ogm_mon810_presente_plus_dinconvenients_que_dav.html

MAIS (OGM) DE MONSANTO TOXIQUE




Une étude prouve la nocivité pour l'organisme de trois maïs Monsanto

lemonde.fr avec AFP | 11.12.09

Une étude publiée dans la revue International Journal of Biological Sciences démontre la toxicité de trois maïs génétiquement modifiés du semencier américain Monsanto, a annoncé vendredi 11 décembre le Comité de recherche et d'information indépendant sur le génie génétique (Criigen, basé à Caen), qui a participé à cette étude.

"Nous avons prouvé pour la première fois au monde que ces OGM n'étaient pas sains, ni suffisamment corrects pour être commercialisés. […] A chaque fois, pour les trois OGM, les reins et le foie, qui sont les principaux organes réagissant lors d'une intoxication alimentaire chimique, ont des problèmes", a indiqué Gilles-Eric Séralini, expert membre de la Commission pour la réévaluation des biotechnologies, créée en 2008 par l'UE.

Universitaires de Caen et Rouen et chercheurs du Criigen se sont basés sur les relevés fournis par Monsanto aux autorités sanitaires pour obtenir le feu vert à la commercialisation, mais ils en tirent des conclusions différentes après de nouveaux calculs statistiques. Selon le Pr Séralini, les autorités sanitaires se basent sur la lecture des conclusions présentées par Monsanto et non sur celles de l'ensemble des chiffres. Les chercheurs ont, eux, pu obtenir l'intégralité des documents après décision de justice.

"Les tests de Monsanto, réalisés sur quatre-vingt-dix jours, ne sont à l'évidence pas assez longs pour pouvoir dire si cela déclenche des maladies chroniques. C'est pourquoi nous demandons des tests d'au moins deux ans", a expliqué un chercheur. Les scientifiques demandent en conséquence la "ferme interdiction" de l'importation et de la culture de ces OGM.

Ces trois OGM (MON810, MON863 et NK603) "sont approuvés pour la consommation animale et humaine dans l'UE et aux Etats-Unis" notamment, précise ke Pr Séralini. "Dans l'UE, seul le MON810 est cultivé dans certains pays (surtout en Espagne), les autres sont importés", ajoute-t-il encore. Une réunion des ministres de l'UE est prévue au sujet des MON810 et NK603 lundi.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/12/11/une-etude-prouve-la-nocivite-pour-l-organisme-de-trois-mais-monsanto_1279552_3244.html