Sunday, October 19, 2008

Historique et Modus Operandi de la Réserve Fédérale Américaine (FED) et du système monétaire mondial


Ci-joint un excellent exposé sur l'acte de naissance et le Modus Operandi de la Réserve Fédérale Américaine (FED)( Banque Centrale (privée) Américaine ) et du système monétaire mondial.

Source de l'article: http://onnousprendspourdescons.blogspot.com/2008/10/les-juifs-pour-tout-lor-du-monde.html

Rappel concernant l'étalon or garantissant la monnaie papier

"La discipline sévère de la couverture-or empêchait les politiciens de manipuler l’offre de monnaie et assurait ainsi une croissance continue de l’économie, source de richesse réelle. Si la production dépassait la quantité de monnaie en circulation, la valeur de celle-ci augmentait, ce qui revient à dire que les prix baissaient et que le niveau de vie montait."

Rappel concernant l'abandon de la garantie or pour la monnaie

Ainsi, les banques juives sont entrés en possession d’un outil de dépréciation continue de notre monnaie, désigné par euphémisme comme «instrument précis de régulation économique». Des sommes d’argent fantastiques – mais en fait inexistantes – sont créées par le mécanisme des réserves partielles qui permet à nos banques de conserver 10% seulement de chaque dépôt et de prêter indéfiniment la même somme contre intérêts, moins les 10%.

Cette offre inflationniste de monnaie stimule artificiellement la croissance, ce qui paraît souhaitable un certain temps. Mais comme le taux d’inflation dépasse toujours le taux de production, la monnaie perd de sa valeur et les prix montent. L’institut d’émission doit alors maîtriser l’inflation en restreignant le crédit et en majorant les taux d’intérêts, ce qui conduit à la récession et au chômage. Ainsi, la Réserve fédérale produit subrepticement expansion et récession, ce qu’elle baptise habilement «cycle conjoncturel»

Le système monétaire mondial

L’étape décisive dans la rupture avec la monnaie d’État a été la fondation, en 1913, du Système fédéral de réserve des États-Unis. Dès la fin du XIXe siècle, les banques sous la coupe de l’empire Rotschild ont lancé une grande campagne pour prendre le contrôle de l’économie des États-Unis. Venant d’Europe, les Rotschild ont financé la Banque J.P. Morgan & Co., la Banque Kuhn Loeb & Co., John D. Rockefellers Standard Oil Co., les chemins de fer d’Edward Harriman et les aciéries d’Andrew Carnegie.

Aux environs de l’an 1900, les Rotschild ont envoyé aux États-Unis un de leurs agents, Paul Warburg, pour coopérer avec la Banque Kühn Loeb & Co. Jacob Schiff et Paul Warburg ont lancé une campagne visant à instaurer des «Federal Reserve Banks» (FED), instituts privés d’émission. Appuyés par les deux grands groupes financiers Rotschild et Rockefeller, ils sont parvenus à fonder une banque centrale privée ayant le droit d’émettre sa propre monnaie, moyen légal de paiement garanti à l’origine par l’Etat. L’instauration de la FED en 1913 a permis aux banquiers internationaux de raffermir leur puissance financière aux Etats-Unis. Paul Warburg a été le premier président de la FED.

Le XVIe amendement de la Constitution américaine, qui a permis au gouvernement de prélever un impôt sur le revenu, a suivi la fondation de la FED. Telle était la conséquence du fait que le gouvernement ne pouvait plus émettre sa propre monnaie. Ainsi, les banquiers internationaux faisaient indirectement main basse sur le patrimoine privé des citoyens américains.

A l’époque, les plus importants actionnaires de la FED étaient:

- Les banques Rothschild de Paris et de Londres
- La Banque Lazard frères de Paris
- La Banque Israel Moses Seif en Italie
- La Banque Warburg à Amsterdam et à Hambourg
- La Banque Lehmann à New York
- La Banque Kuhn Loeb & Co. à New York
- La Banque Rockefeller Chase Manhatten à New York
- La Banque Goldman Sachs à New York.

Après la Première Guerre mondiale, les réserves d’or mondiales ont été accumulées dans cette banque privée qu’était la FED, de sorte que de nombreuses banques centrales n’ont plus pu maintenir l’étalon-or et que leur pays a sombré dans la déflation – la première crise économique mondiale.

Même pendant la Guerre mondiale, les États-Unis ont exigé des pays en guerre qu’ils paient les armements livrés en or. Après la fin de la guerre, l’or de l’Allemagne a dû aussi être cédé comme butin de guerre. A elles seules, plus de 30 000 tonnes d’or du monde se sont ainsi accumulées aux Etats-Unis . Cet or a servi de couverture au dollar.

Toutefois, comme une grande partie des dollars étaient détenus dans les banques centrales étrangères comme réserves monétaires, les Etats-Unis ont pu imprimer et dépenser davantage de dollars qu’ils n’avaient d’or. En effet, les autres pays avaient besoin de dollars pour acheter des matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu de plus en plus une des réserves monétaires principales des banques centrales étrangères.

Le règne du dollar dans le monde avait commencé.

En 1971, Richard Nixon (37e président des Etats-Unis de 1969 à 1974) a résilié l’obligation de convertir le dollar en or (l’étalon de change-or) et, simultanément, la garantie de l’État à propos du dollar. Depuis : le billet vert n’est couvert ni par l’or ni par une garantie de l’Etat il ne représente que la monnaie privée de la FED. Or la masse monétaire de dollars en circulation déterminée par la FED (depuis mars 2006, celle-ci ne publie plus le chiffre de la masse monétaire M3) est devenue un problème insoluble: pendant que la masse mondiale de biens quadruplait au cours des 30 dernières années, la masse monétaire s’est multipliée par quarante.

Comment fonctionne cette banque privée qui a le droit d’imprimer des dollars:

- la FED imprime des dollars.
- ceux-ci sont prêtés au gouvernement des États-Unis contre des obligations qui servent de «sûretés» à la FED.
- les banques de la FED qui détiennent ces titres perçoivent des intérêts annuels.

Astucieux système qui permet, en imprimant seulement des bouts de papiers de s’emparer d’obligations bien réelles sur lesquelles les banquiers touchent des intérêts annuels.

Dès 1992, les obligations détenues par la FED avaient une valeur de quelque 5 trillions de dollars, et les intérêts payés par les contribuables américains augmentent constamment.La FED s’est appropriée ce patrimoine incroyable en prêtant de l’argent au gouvernement américain et en encaissant alors des intérêts.

La contre-valeur: du papier de couleur, nommé dollar.

Répétons-le: le dollar est émis non pas par le gouvernement des États-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts.

Personne ne remarque cette duperie.

De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des États-Unis.
De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel («executive order number 11110»). Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignements.

Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.

On oublie que le premier ayant voulu échapper aux banques privées qui lui proposaient de financer sa guerre contre les sudistes, avec des taux d’intérêts allant à plus de 36%, ce fut Abraham Lincoln. Il voulait relancer la garantie-or pour la monnaie qu’il voulait imprimer au nom de l’État. Seulement voila, les banques juives privées ne l’ont pas vu d’un bon oeil : il en est mort.

Lire l’histoire bancaire ICI dont voici un extrait :

- “Lincoln’s opposition to the central banks financial control and a proposed return to the gold standard is well documented. He would certainly have killed off the national banks monopoly had he not been killed himself only 41 days after being re-elected. The money changers were pressing for a gold standard because gold was scarce and easier to have a monopoly over.”

Conclusion

Les deux présidents des Etats Unis qui ont voulu se débarrasser des banques juives pour récupérer leur droit d’émettre leur propre monnaie garantie sur l’or, on été assassinés avant de mettre leur projet en oeuvre ! Et aujourd’hui, les banques privées tentent par tous les moyens de maintenir et d’assurer leur gigantesque source de revenu qu’est le dollar.

Les États qui veulent nouer leurs relations commerciales internationales sur la base de l’euro, tels l’Irak, l’Iran ou le Venezuela, sont déclarés terroristes. Les gouvernements sont forcés de livrer des produits aux États-Unis contre des dollars sans valeur, et l’augmentation effrénée de la liquidité fournit à la haute finance les liquidités illimitées avec lesquelles elle peut acheter dans le monde entier.
Les banques centrales du monde entier sont forcées de détenir des dollars sans valeur comme «réserves monétaires».

Le dollar des États-Unis est la monnaie privée de la haute finance, garantie par personne si ce n’est par elle-même, utilisée pour maximiser le profit, accrue sans vergogne, employée comme moyen de domination mondiale et pour accaparer toutes les matières premières et autres valeurs au monde.

Source: Internationaler Hintergrundinformationsdienst für Politik, Wirtschaft und Wehrwesen, inter info, suite 344, juillet et août 2007

Lehman Brothers, la banque qui a fait faillite.

Un exemple de la rapacité de ces admirables banquiers

Je résume le principe :

- un couple avait emprunté pour être propriétaires d’une petite maison
- des problèmes de santé surviennent et ils tentent de trouver une solution pour s’en sortir
- ils signent, avec la banque Lehman Brothers, un prêt logement “ajustable”, avec un taux de remboursement initial fixé à 8,85 %.
- Candace Weaver dit n’avoir pas compris que le taux pouvait grimper à 11,375 % au bout de deux ans et atteindre les 15,85 % par la suite.
- et encore moins compris que le contrat stipulait, au bout de trente ans, un “balloon payment”, c’est-à-dire un remboursement unique à l’échéance du crédit.
“Ils n’ont évoqué que le taux le plus bas“, souffle-t-elle.
- nouveau problème de santé … lisez la suite, c’est à vomir.

Alors que Wall Street reste empêtrée dans la crise des subprimes, Bruce Wasserstein, PDG et principal actionnaire de la banque d’affaires franco-américaine Lazard, vient de présenter des résultats records pour 2007 : Un bond de 67 % du bénéfice net.

Même technique que le 9-11, il faut un grand choc pour ébranler le monde :”Le lundi matin, l’action Lehman Brothers plonge de 94 % pour atteindre 21 cents, réduisant la capitalisation de l’entreprise à 145 millions de dollars - contre 46 milliards six mois plus tôt. La faillite ébranle Wall Street, l’indice Dow Jones perd 500 points dans la journée, sa plus forte chute depuis le 11 septembre 2001. La contagion gagne toutes les places mondiales. Ce même jour, le gouvernement Bush nationalise l’assureur AIG et le met sous perfusion de la Fed.” “Sur le gril lors de son audition par le Congrès le 6 octobre, Richard Fuld (photo) a endossé ses responsabilités dans le désastre, mais a affirmé : jusqu’au jour où l’on m’enterrera, je me demanderai pourquoi nous avons été les seuls.”

Finalement, Barclays rachète les activités américaines de Lehman Brothers deux milliards de dollars, une semaine après la faillite, le japonais Nomura reprenant les entités européennes et asiatiques. Une partie des 25 000 employés sera sacrifiée.
Des milliers de créanciers et épargnants resteront sur le carreau.

Savez-vous que

- Depuis 1971, plus aucune monnaie n’est liée à un étalon réel (or), ce qui la rend depuis totalement virtuelle

- En 1973, la France s’est légalement obligée d’emprunter sur les marchés financiers cette monnaie dont elle avait auparavant le pouvoir d’émission!

- Suite au Traité de Maastricht, toute l’Europe est dans la même situation, qui conduit les États à s’endetter pour obtenir, au prix fort, la monnaie immatérielle qu’ils pourraient créer eux-mêmes. C’est ainsi plus de 1300 milliards d’euros d’intérêts que nous avons payé depuis 1973, et cette “charge de la dette” ponctionne actuellement, sur nos impôts, près de 120 millions par jour. Pendant ce temps, cette dette - le capital dû - s’est envolé à plus de 1250 milliards d’euros!

Les “élites” européennes ont volontairement abandonné notre droit de création monétaire, au profit exclusif d’une finance privée dont les excès et l’irresponsabilité sont aujourd’hui étalés au grand jour! Cette politique du “tout marché”, appliquée à la fonction monétaire, est la cause première de la dette publique, avec son cortège de restrictions budgétaires, resserrement des aides sociales, recul du service public, etc.

“D’une ampleur inédite depuis la Grande Dépression de 1929, le plan nécessitera de relever le plafond de la dette américaine, à 11 300 milliards de dollars afin de donner toute latitude au Trésor. “Si la limite du plan est de 700 milliards, cela ne veut pas dire qu’on ira jusque-là, ni qu’on s’arrêtera là et qu’on ne demandera pas plus“, a prévenu M. Paulson. “

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